Nous intervenons à toutes les étapes de l'accompagnement des personnes en perte d'autonomie. Que vous soyez en recherche d'une famille d'accueil ou professionnel du secteur.
Les animaux d'assistance sont définis comme des chiens dressés individuellement pour faire du travail ou accomplir des tâches pour des personnes handicapées. Par exemple, guider des personnes aveugles, alerter des personnes sourdes, tirer un fauteuil roulant, alerter et protéger une personne qui fait une crise, rappeler à une personne atteinte de maladie mentale de prendre des médicaments prescrits, calmer une personne atteinte du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) pendant une crise d'anxiété ou accomplir d'autres tâches sont des exemples de telles tâches ou tâches. Les animaux d'assistance sont des animaux de travail, pas des animaux de compagnie. Le travail ou la tâche qu'un chien a été dressé pour accomplir doit être directement lié au handicap de la personne. Les chiens dont la seule fonction est de réconforter ou de soutenir émotionnellement ne sont pas admissibles à titre d'animaux d'assistance en vertu de l'ADA.
On appelle accessibilité universelle l’accès « à tout pour tous », l’accès à tout bâtiment ou aménagement permettant, dans des conditions normales de fonctionnement, à des personnes handicapées, avec la plus grande autonomie possible, de circuler, d’accéder aux locaux et équipements, d’utiliser les équipements, de se repérer, de communiquer et de bénéficier des prestations en vue desquelles cet établissement ou cette installation a été conçu. Les conditions d’accès des personnes handicapées doivent être les mêmes que celles des personnes valides ou, à défaut, présenter une qualité d’usage équivalente. La loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées du 11 février 2005 donnait 10 ans aux établissements recevant du public (ERP) pour se rendre accessibles. Fin 2012, à trois ans de l’échéance, un peu plus de 30% de ces établissements étaient accessibles. Face à ce constat, il a été décidé de relancer la dynamique de mise en accessibilité de la société avec notamment une mesure majeure : la création des Agendas d’Accessibilité Programmée (Ad’ap).
L'aide à domicile est un accompagnement proposé dans le cadre de la protection de l'enfance. Elle est attribuée, sous certaines conditions, notamment au père ou la mère qui rencontre des difficultés dans la relation à son enfant (éducation, entretien du foyer, finances). Cette aide peut comporter plusieurs actions. Le parent qui bénéficie de l'aide conserve l'autorité parentale.
La loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées est l'une des principales lois sur les droits des personnes handicapées, depuis la loi de 1975. Elle apporte de nombreux changements. Cette loi se base sur le principe selon lequel « toute personne handicapée a droit à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale, qui lui garantit, en vertu de cette obligation, l’accès aux droits fondamentaux reconnus de tous les citoyens ainsi que le plein exercice de sa citoyenneté ». La loi réaffirme notamment le principe d'accessibilité pour tous, quel que soit le handicap, et dispose notamment que dans un délai de 10 ans à compter de sa publication, les services de transports collectifs devront être accessibles aux personnes handicapées et à mobilité réduite. L’accessibilité des transports est, en effet, l’un des premiers moyens nécessaires pour une personne handicapée de pouvoir accéder au savoir, occuper un emploi, exercer une activité professionnelle, participer aux activités sportives, culturelles et de loisirs, partir en vacances… Les autorités compétentes pour l’organisation du transport public ou le syndicat des transports d’Ile-de-France, en l’absence d’autorité organisatrice, l’Etat, ainsi que les exploitants des aérodromes et gestionnaires de gares maritimes doivent élaborer un schéma directeur d’accessibilité des services dont ils sont responsables, dans les trois ans à compter de la publication de la loi précitée. Ce schéma fixe la programmation de la mise en accessibilité des services de transports et définit les modalités de l’accessibilité des différents types de transport. En cas d’impossibilité technique avérée de mise en accessibilité des réseaux existants, des moyens de transport adaptés aux besoins des personnes handicapées ou à mobilité réduite doivent être mis à leur disposition. Ils sont organisés et financés par l’autorité organisatrice de transport normalement compétente dans un délai de 3 ans. Le coût du transport de substitution pour les usagers handicapés ne doit pas être supérieur au coût du transport public existant. Les réseaux souterrains de transports ferroviaires et de transports guidés existants ne sont pas soumis au délai de trois ans, à condition d’élaborer un schéma directeur d’accessibilité des services et de mettre en place dans un délai de trois ans des transports de substitution accessibles aux personnes handicapées. Par ailleurs, dans un délai de trois ans à compter de la publication de la loi de 2005, les autorités organisatrices de transports publics doivent mettre en place une procédure de dépôt de plainte en matière d’obstacles à la libre circulation des personnes à mobilité réduite.
Au cours de votre séjour dans nos services d’hospitalisation, conformément à ce que prévoit la réglementation applicable aux établissements de santé, deux modes d’hébergement vous seront proposés : le régime commun : il est applicable aux patients séjournant en chambre double ou bien placés en chambre individuelle pour raisons médicales le régime particulier : il concerne les patients qui sollicitent un hébergement en chambre individuelle. Pour chaque journée d’hospitalisation passée en chambre seule, un supplément est facturé. Ce forfait journalier peut être pris en charge, totalement ou bien partiellement, par votre mutuelle. Le centre hospitalier des quatre villes offre à chaque patient ayant opté pour le régime particulier une carte cadeau. Elle permet au patient de bénéficier de prestations auprès de notre partenaire HAPPYTAL.
Le socio coiffeur est un professionnel du cheveu, formé à des compétences supplémentaires à travers l’unique formation Socio Coiffure reconnue par l’Etat, qui lui permet d’exercer son métier auprès de personnes confrontées à la maladie, au handicap, à la vieillesse… et aux conséquences physiques, psychologiques ou encore sociales qui en découlent.
Nous décrivons le rôle joué par les différents acteurs : médecins, diététiciennes et cuisiniers, dans la mise en place d'une unité centrale de production dans un centre hospitalier. Les médecins ont établi un cahier des charges correspondant aux besoins nutritionnels des patients selon leur âge et leur pathologie. Les diététiciennes ont établi des menus à partir de ce cahier des charges. Les cuisiniers ont travaillé les recettes en utilisant certaines techniques de l'agroalimentaire pour améliorer la qualité organoleptique des repas servis. La qualité du résultat est suivie par des évaluations régulières. Ces dernières ont fait apparaître des dysfonctionnements dans la chaîne de distribution des repas. Cette constatation a amené la création d'une structure transversale regroupant non seulement les médecins, diététiciennes et cuisiniers, mais impliquant des représentants des services soignants, afin d'assurer la qualité du repas servi, jusqu'au lit du patient.
Les personnes à mobilité réduite ou en fauteuil roulant doivent pouvoir se déplacer en sécurité le long d'itinéraires fléchés sécurisés de circulations douces reliant les lieux de vie. C'est une bonne chose de leur réserver des places de parking à divers endroits, mais leur désir d'autonomie doit aussi être satisfait dans les petits déplacements en ville : la voiture n'est pas la seule solution pour maintenir ou développer une vie sociale. En effet, plus le handicap moteur est lourd, plus les personnes en fauteuil apprécient le peu d'autonomie qui leur reste : accomplir les petits gestes de la vie courante, comme aller chez le boulanger, chez le marchand de journaux, à la poste, à la Mairie devient un défi que beaucoup veulent relever. Encore faut-il que les conditions matérielles de ces petits déplacements n'en fassent pas une course d'obstacles : seuils de trottoirs infranchissables, haies débordant sur les trottoirs, voitures en stationnement sauvage, poubelles, panneaux de signalisation anarchiques. Dans ce cas, il n'est pas besoin d'aménagements lourds : il suffit d'un peu de bon sens et d'appliquer la loi.
Avant une hospitalisation, il est important de se renseigner sur les frais qui y sont liés : actes chirurgicaux, médicaux ou encore de confort (chambre individuelle, télévision, téléphone ou encore connexion Wifi). En effet, si les actes médicaux et chirurgicaux sont partiellement remboursés par la Sécurité Sociale et l’Assurance Maladie, les frais de confort non, d’où l’importance d’avoir souscrit à une complémentaire santé adéquate. Ainsi, 20% des frais d’hospitalisation, les dépassements d’honoraires médicaux et les hypothétiques frais de confort personnel (chambre individuelle, télévision, téléphone, Wifi) restent à votre charge Télévision : 3 à 5 euros par jour (et peut grimper plus haut si l’on demande le câble ou des chaines supplémentaires), environ 120 euros par mois (certains hôpitaux proposent cependant des forfaits par semaine et par mois et proposent de rembourser les frais si les forfaits ne sont pas entièrement utilisés)
Le surveillant - visiteur de nuit exerce principalement au sein de structures d'hébergement collectif accueillant des personnes âgées, des personnes handicapées (adultes ou enfants), des personnes en situation de précarité, des enfants en difficulté sociale et familiale. Il peut également intervenir au domicile des personnes en tant que salarié d'un organisme prestataire, ou salarié du particulier employeur. Le surveillant - visiteur de nuit : - assure une veille "active" des personnes, en tenant compte des informations recueillies à sa prise de poste en respectant l'intimité de la personne et les consignes institutionnelles, - garantit les conditions de repos de la personne en l'accompagnant dans ses besoins et demandes et en respectant son intimité. Il participe à la mise en œuvre du projet individuel. Il tient compte des problématiques individuelles des personnes. - assure la surveillance des locaux et des équipements et en garantit la sécurité, en tenant compte des informations recueillies à sa prise de poste. En fonction du degré de dysfonctionnement, le surveillant visiteur de nuit peut o agir directement, o transmettre l’information par écrit et par oral au service de maintenance, o prévenir les services d’urgence concernés, - assure une fonction de relais jour-nuit, participe au projet d'établissement ou de service et contribue à la mise en œuvre des projets individuels des bénéficiaires. Il est tenu au secret professionnel. Le surveillant - visiteur de nuit peut aussi, selon le contexte d'emploi, assurer des tâches d'hygiène et d'entretien des locaux. De même il peut être amené à assurer une fonction d'hôtellerie (entretien du linge, préparation du repas). Ces activités sont plus ou moins importantes en temps. Dans tous les cas, ces activités restent complémentaires par rapport aux activités principales du surveillant visiteur de nuit qui sont la surveillance des personnes, l'accompagnement personnalisé, la sécurité des locaux, la communication et le travail en équipe. Il peut également être amené à assurer des fonctions d'animation en soirée pour des structures sociales (Foyer de Jeunes Travailleurs, Maisons d'Enfants à Caractère Social etc.).